3 NOVEMBRE THEATRE DURANCE.mp3 (2.59 Mo)
Dans l’obscurité, un être étrange surgit du plafond et prend vie. Ni femme, ni homme, Meurlze n’a pas de valeur, pas de famille, pas de pudeur. Avec tendresse et humour, cet être tout de blanc vêtu, évolue dans un univers singulier où les normes et le genre n’existent pas. Bienvenu.e.s dans 080. Zéro comme point de départ et comme point final, avec, entre les deux, une infinité de possibles.
Sur le plateau, un espace curieusement modifié, la lumière y définit la temporalité, le sol est parfois dur, parfois mou, la droite et la gauche se confondent et le corps se démultiplie, deux, trois, quatre fois. En soixante minutes, Jonathan Guichard nous entraîne dans la vie pleine de rebondissements - au propre comme au figuré - d’une créature sensible et nous invite à poser sur nos corps un regard plus doux. Un spectacle inventif, visuel et poétique, entre cirque, théâtre et danse.
Sur le plateau, un espace curieusement modifié, la lumière y définit la temporalité, le sol est parfois dur, parfois mou, la droite et la gauche se confondent et le corps se démultiplie, deux, trois, quatre fois. En soixante minutes, Jonathan Guichard nous entraîne dans la vie pleine de rebondissements - au propre comme au figuré - d’une créature sensible et nous invite à poser sur nos corps un regard plus doux. Un spectacle inventif, visuel et poétique, entre cirque, théâtre et danse.