La liberté de la presse, un principe défendu partout, pour tous et toujours. A Aix en Provence samedi dernier, à l’occasion de la journée internationale de la liberté de la presse, la librairie Goulard accueillait tous les défenseurs de la presse libre. Journalistes évidemment, mais aussi artistes, caricaturistes et citoyens. Parmi eux, Gabriel Mazot, 12 ans a joué les reporter en herbe avec des questions pertinentes et matures ; et pour cause il rêve de devenir journaliste, un métier qui fait encore rêver malgré la crise que traverse la presse.
Et puis à ses côtés, avec quelques années de plus, une sexagénaire, ancienne professeur à Alger, qui a souhaité venir témoigner anonymement du quotidien de ses proches, journalistes en Algérie. Un pays où la situation s’est améliorée pour la liberté d’exercer des journalistes. Même si tout n’est pas parfait et que ce métier reste encore difficile à exercer, les Algériens sont des militants et des défenseurs de la liberté d’expression. Elle insiste sur la responsabilité des médias ici surtout qui en ne montrant que l’aspect sensationnel, et le terrorisme en particulier donnent à une image erronée du pays mais servent aussi la communication de groupuscules terroristes. Elle déplore le manque de recul journalistique et souhaiterait plus d’informations positives ici et ailleurs.
La responsabilité journalistique, toute une histoire. Concilier hiérarchie de l’information sans céder au buzz, au sensationnel, qui font le clic ou l’audimat. Et se souvenir comme le disait Albert Londres que « Notre métier n'est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie ». Une jolie citation qui s’impose pour parler liberté de la presse. Je vous propose d’écouter Gabriel avec l’enthousiasme de ses12 ans et son aînée, professeure-retraitée à Alger qui nous explique comment travaillent les journalistes en Algérie.
Camille Garcia
Et puis à ses côtés, avec quelques années de plus, une sexagénaire, ancienne professeur à Alger, qui a souhaité venir témoigner anonymement du quotidien de ses proches, journalistes en Algérie. Un pays où la situation s’est améliorée pour la liberté d’exercer des journalistes. Même si tout n’est pas parfait et que ce métier reste encore difficile à exercer, les Algériens sont des militants et des défenseurs de la liberté d’expression. Elle insiste sur la responsabilité des médias ici surtout qui en ne montrant que l’aspect sensationnel, et le terrorisme en particulier donnent à une image erronée du pays mais servent aussi la communication de groupuscules terroristes. Elle déplore le manque de recul journalistique et souhaiterait plus d’informations positives ici et ailleurs.
La responsabilité journalistique, toute une histoire. Concilier hiérarchie de l’information sans céder au buzz, au sensationnel, qui font le clic ou l’audimat. Et se souvenir comme le disait Albert Londres que « Notre métier n'est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie ». Une jolie citation qui s’impose pour parler liberté de la presse. Je vous propose d’écouter Gabriel avec l’enthousiasme de ses12 ans et son aînée, professeure-retraitée à Alger qui nous explique comment travaillent les journalistes en Algérie.
Camille Garcia
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Durée :8'18"