Il accompagne ceux qui veulent découvrir les terres sauvages, à la limite du Pôle Nord. Mais sa passion de la photographie lui permet aussi de prendre des clichés exceptionnels. Aurores boréales, étendues glaciaires et volcaniques d’Islande, forêts canadiennes enneigées ou taïga nordique, répondant à son propre appel du grand large Arnaud Marchais s’est pris de passion pour ces vastes territoires de moins en moins préservés hélas. Armé de son boîtier, il fixe tour à tour un troupeau de rennes ou un renard polaire en Asie, un combat d’élans, un loup solitaire ou une famille d’ours brun et des bisons en Amérique, des rapaces et autres oiseaux méconnus en Islande ou en Finlande, bref une faune insolite pour un œil occidental. Quand on ajoute que ces animaux sont pris dans leur élément naturel par notre trappeur sans fusil, on a toute sa vision d’une nature à respecter et préserver. Arnaud Marchais propose aussi des voyages et expéditions photographiques à ceux que les grands espaces sauvages attirent. Séjour dans des chalets traditionnels mais confortables en Finlande, randonnées à ski ou en traineaux à chiens, sorties en zodiac en Norvège, circuit 4X4 sur des lacs gelés ou encore campement sous yourte ou tipi, c’est l’aventure garantie avec un accompagnateur éclairé et rompu aux lois de la nature. Comme sa connaissance du terrain ou des espèces sauvages, ses conseils pour l’alimentation ou la protection contre le froid sont essentiels sous ces latitudes.
Mais l’homme constate aussi avec effroi les effets de l’urbanisation et du réchauffement climatique. Comme les glaciers, des espèces animales disparaissent et même des peuplades en Alaska ou en Mongolie sont menacées. Les photos d’Arnaud prennent là une tournure dramatique et témoignent d’une planète à la dérive.
Originaire de Pierrevert, Arnaud Marchais a participé la semaine dernière au festival des Nuits Photographiques que son père Yves, également excellent photographe anime avec ses amis Stéphane Kosmann, François-Xavier Emery, Henri Kartman, Elisabeth Dussauze, Alain Gualina entre autres.
Il y a aussi un peu souffert des morsures de la chaleur auxquelles l’homme du nord qu’il est désormais n’est plus habitué. Je vous propose d’écouter Arnaud Marchais parler de photographie et de nature.
Mais l’homme constate aussi avec effroi les effets de l’urbanisation et du réchauffement climatique. Comme les glaciers, des espèces animales disparaissent et même des peuplades en Alaska ou en Mongolie sont menacées. Les photos d’Arnaud prennent là une tournure dramatique et témoignent d’une planète à la dérive.
Originaire de Pierrevert, Arnaud Marchais a participé la semaine dernière au festival des Nuits Photographiques que son père Yves, également excellent photographe anime avec ses amis Stéphane Kosmann, François-Xavier Emery, Henri Kartman, Elisabeth Dussauze, Alain Gualina entre autres.
Il y a aussi un peu souffert des morsures de la chaleur auxquelles l’homme du nord qu’il est désormais n’est plus habitué. Je vous propose d’écouter Arnaud Marchais parler de photographie et de nature.