Nommé le 1er janvier en remplacement de Patricia Willaert, le préfet Guérin a rencontré la presse locale hier à Digne. Auparavant, il a déposé une gerbe au monument aux morts et a pris un premier contact avec les élus présents. Mais aussi, le nouveau préfet avait effectué une visite aux services de police et de secours pour la nuit du Nouvel An. Visite naturelle pour celui qui a débuté sa carrière dans la police.
Agé de 62 ans, Bernard Guérin est un fonctionnaire expérimenté et qui a beaucoup voyagé. Guadeloupe, Nouvelle Calédonie, Réunion, et plus près de nous, les Hauts de Seine, la Bourgogne et la sous-préfecture de Brest, dernière affectation avec Digne.
Il prône un Etat qui s’affirme et qui pratique le dialogue. La prise en compte de l’intérêt général qu’il distingue de la somme des intérêts particuliers, il veut maintenir les services publics malgré les budgets contraints et les baisses de dépenses de l’Etat, assurer la sécurité physique mais aussi économique des Bas-Alpins et enfin, rencontrer régulièrement la presse locale en dehors de l’actualité.
Mais dans les mois qui suivent, deux dossiers chauds l’attendent. Avant le 29 février, celui du centre d’enfouissement technique qui oppose le territoire de Château-Arnoux St Auban au Département et au Sydevom et qui dépend aussi depuis août 2015 de la Région. C’est chaud bouillant, tout comme le schéma départemental de coopération intercommunale qu’il doit boucler au 31 mars. Là aussi les difficultés et oppositions sont grandes. Le nouveau préfet table sur la solidarité des territoires plutôt que sur leur opposition même au niveau extra départemental.
Il confirme dans l’interview que vous allez entendre, sa volonté de dialoguer mais aussi son obligation assumée de prendre des décisions.
Agé de 62 ans, Bernard Guérin est un fonctionnaire expérimenté et qui a beaucoup voyagé. Guadeloupe, Nouvelle Calédonie, Réunion, et plus près de nous, les Hauts de Seine, la Bourgogne et la sous-préfecture de Brest, dernière affectation avec Digne.
Il prône un Etat qui s’affirme et qui pratique le dialogue. La prise en compte de l’intérêt général qu’il distingue de la somme des intérêts particuliers, il veut maintenir les services publics malgré les budgets contraints et les baisses de dépenses de l’Etat, assurer la sécurité physique mais aussi économique des Bas-Alpins et enfin, rencontrer régulièrement la presse locale en dehors de l’actualité.
Mais dans les mois qui suivent, deux dossiers chauds l’attendent. Avant le 29 février, celui du centre d’enfouissement technique qui oppose le territoire de Château-Arnoux St Auban au Département et au Sydevom et qui dépend aussi depuis août 2015 de la Région. C’est chaud bouillant, tout comme le schéma départemental de coopération intercommunale qu’il doit boucler au 31 mars. Là aussi les difficultés et oppositions sont grandes. Le nouveau préfet table sur la solidarité des territoires plutôt que sur leur opposition même au niveau extra départemental.
Il confirme dans l’interview que vous allez entendre, sa volonté de dialoguer mais aussi son obligation assumée de prendre des décisions.
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Durée : 7'37