A cette question, pleine de promesses, l’office de tourisme communautaire de la DLVA veut apporter des réponses et des propositions adaptées.
En accueillant sur trois jour Jeong hee Kim-Stokolosa, manager général de Tour Story, important organisateur de voyage basé à Paris, la DLVA a déroulé le tapis rouge. Car les perspectives sont considérables. Le Pays du Matin Calme envoie déjà de nombreux visiteurs plutôt aisés vers Paris et la Côte d’Azur et pourquoi pas la Haute-Provence. Au menu de la « danse du ventre » des professionnels : le plateau de Valensole, la faïence et des sites d’hébergement à Moustiers, puis le lac de Sainte-Croix, Aups ou encore le beau village de Tourtour ainsi que l’usine de L’Occitane à Manosque. Une marque réputée chez les consommatrices coréennes nous confiera madame Kim, confirmant la pertinence de sa visite.
Mais au-delà de la lavande, la truffe, la gastronomie et les villages perchés, reste un point noir : l’hébergement. Un groupe moyen de 15 à 25 personnes demande un hôtel de bon standing de 15 à 20 chambres disponibles en saison. Ce n’est hélas pas toujours le cas dans le haut pays. Et quand vous ajoutez des routes parfois escarpées qui peuvent effrayer des chauffeurs de bus plutôt imposants, vous avez les écueils que doivent surmonter les tour-operateurs.
L’Office de tourisme de la DLVA s’efforce d’y répondre et l’ouverture de vols directs Séoul-Milan comme le développement de nouveaux produits touristiques dans le sud de la France sont des opportunités que les Provençaux ne veulent pas laisser passer.
Une première excursion depuis Aix-en-Provence vers le Verdon dès cet été est en proéparation à titre expérimental. Je vous propose d’écouter madame Kim puis Jean-Frédéric Gonthier à l’aune d’un partenariat qui peut s’avérer productif.
En accueillant sur trois jour Jeong hee Kim-Stokolosa, manager général de Tour Story, important organisateur de voyage basé à Paris, la DLVA a déroulé le tapis rouge. Car les perspectives sont considérables. Le Pays du Matin Calme envoie déjà de nombreux visiteurs plutôt aisés vers Paris et la Côte d’Azur et pourquoi pas la Haute-Provence. Au menu de la « danse du ventre » des professionnels : le plateau de Valensole, la faïence et des sites d’hébergement à Moustiers, puis le lac de Sainte-Croix, Aups ou encore le beau village de Tourtour ainsi que l’usine de L’Occitane à Manosque. Une marque réputée chez les consommatrices coréennes nous confiera madame Kim, confirmant la pertinence de sa visite.
Mais au-delà de la lavande, la truffe, la gastronomie et les villages perchés, reste un point noir : l’hébergement. Un groupe moyen de 15 à 25 personnes demande un hôtel de bon standing de 15 à 20 chambres disponibles en saison. Ce n’est hélas pas toujours le cas dans le haut pays. Et quand vous ajoutez des routes parfois escarpées qui peuvent effrayer des chauffeurs de bus plutôt imposants, vous avez les écueils que doivent surmonter les tour-operateurs.
L’Office de tourisme de la DLVA s’efforce d’y répondre et l’ouverture de vols directs Séoul-Milan comme le développement de nouveaux produits touristiques dans le sud de la France sont des opportunités que les Provençaux ne veulent pas laisser passer.
Une première excursion depuis Aix-en-Provence vers le Verdon dès cet été est en proéparation à titre expérimental. Je vous propose d’écouter madame Kim puis Jean-Frédéric Gonthier à l’aune d’un partenariat qui peut s’avérer productif.