Pendant plus de cinquante ans, il les a photographiés, inlassablement et sous tous les angles. Ils ont aussi fait la réputation de cet artiste unique. Sous son œil, mais aussi sous ses doigts grâce à des traitements chimiques sophistiqués, les sujets (citron, kiwi, poire, poivron, brin d’herbe, coquelicot, pissenlit et bien sûr oignon) sont sublimés pour atteindre une beauté esthétique et poétique renversante.
Ami des Nuits Photographiques de Pierrevert, et particulièrement d’Alain Gualina qu’il a formé, Denis Brihat expose ses surprenantes photos à la Fondation Carzou tout l’été.
Chacun pourra rêver devant une poire callipyge, le cœur d’un kiwi, une gousse d’ail évanescente ou une tulipe foncièrement noire. Mais également sur les photos noir et blanc de son long voyage en Inde en 1955. Un travail qui lui a valu le Prix Niépce 1957 et qu’il a saisi en 24X36 avec un Leica télémétrique. Le reste de son œuvre étant réalisé à la chambre, moins maniable mais répondant mieux à ses exigences en terme de netteté et de maniabilité en laboratoire, une alchimie complexe qui finalise ses compositions et prises de vue.
Je vous propose d’écouter Denis Brihat photographe de 89 ans qui n’a rien perdu de sa fraîcheur et de sa verve malgré le poids des ans. Et je vous invite à vous rendre à la Fondation Carzou de Manosque pour admirer ses œuvres. Vous ne verrez plus oignons, kakis ou poires de la même manière, c’est sûr !
Ami des Nuits Photographiques de Pierrevert, et particulièrement d’Alain Gualina qu’il a formé, Denis Brihat expose ses surprenantes photos à la Fondation Carzou tout l’été.
Chacun pourra rêver devant une poire callipyge, le cœur d’un kiwi, une gousse d’ail évanescente ou une tulipe foncièrement noire. Mais également sur les photos noir et blanc de son long voyage en Inde en 1955. Un travail qui lui a valu le Prix Niépce 1957 et qu’il a saisi en 24X36 avec un Leica télémétrique. Le reste de son œuvre étant réalisé à la chambre, moins maniable mais répondant mieux à ses exigences en terme de netteté et de maniabilité en laboratoire, une alchimie complexe qui finalise ses compositions et prises de vue.
Je vous propose d’écouter Denis Brihat photographe de 89 ans qui n’a rien perdu de sa fraîcheur et de sa verve malgré le poids des ans. Et je vous invite à vous rendre à la Fondation Carzou de Manosque pour admirer ses œuvres. Vous ne verrez plus oignons, kakis ou poires de la même manière, c’est sûr !
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