La traditionnelle réception préfectorale a été marquée par la présence de Christophe Castaner, personnalité habituée de l’exercice, mais cette fois présent en tant que membre du gouvernement. De plus, le secrétaire d’Etat en charge des relations avec le Parlement a remis une prestigieuse décoration au préfet Bernard Guérin nous y reviendrons demain.
Une foule de personnalités du département mais également le Consul général du Japon a assisté à la cérémonie qu’animait tant bien que mal un trio de musiciennes malgré le brouhaha et les bavardages.
Dans une intervention de plus de 40 minutes, Bernard Guérin a évoqué les réalisations et les perspectives pour les Alpes de Haute-Provence. Il rappelait les missions communes aux élus et aux préfets, dans son cas agir pour améliorer la vie quotidienne des Bas-Alpins mais aussi « Faire en sorte que nos enfants vivent mieux que nous » a-t-il souligné. Abordant de nombreux sujets, du terrorisme à la situation économique et du réchauffement climatique à la future école de la deuxième chance qui va concerner le 04, il a dressé un tableau sans fard de son activité et de ses souhaits. En fait le suivi de la feuille de route fixée par Emmanuel Macron aux préfets de notre pays en trois points : d’abord protéger les Français, puis garantir leurs droits et libertés et enfin, servir les Français. Et pour le premier point il rappelait la surveillance active du territoire des Alpes de Haute-Provence l’an passé pour éviter les radicalisations, la mobilisation des services sur une cinquantaine de personnes suivies dont deux avec actions de justice.
Je vous propose d’écouter un extrait de son intervention. Le préfet évoque la reprise économique, la nouvelle politique agricole commune, l’environnement et la flex-sécurité. Mais d’abord un moment fort de son discours concernant les migrants et l’accueil qui leur a été réservé dans plusieurs communes du 04. Le préfet salue les élans de solidarité des élus comme des associations tout en restant pragmatique sur le sujet. Bernard Guérin.
Une foule de personnalités du département mais également le Consul général du Japon a assisté à la cérémonie qu’animait tant bien que mal un trio de musiciennes malgré le brouhaha et les bavardages.
Dans une intervention de plus de 40 minutes, Bernard Guérin a évoqué les réalisations et les perspectives pour les Alpes de Haute-Provence. Il rappelait les missions communes aux élus et aux préfets, dans son cas agir pour améliorer la vie quotidienne des Bas-Alpins mais aussi « Faire en sorte que nos enfants vivent mieux que nous » a-t-il souligné. Abordant de nombreux sujets, du terrorisme à la situation économique et du réchauffement climatique à la future école de la deuxième chance qui va concerner le 04, il a dressé un tableau sans fard de son activité et de ses souhaits. En fait le suivi de la feuille de route fixée par Emmanuel Macron aux préfets de notre pays en trois points : d’abord protéger les Français, puis garantir leurs droits et libertés et enfin, servir les Français. Et pour le premier point il rappelait la surveillance active du territoire des Alpes de Haute-Provence l’an passé pour éviter les radicalisations, la mobilisation des services sur une cinquantaine de personnes suivies dont deux avec actions de justice.
Je vous propose d’écouter un extrait de son intervention. Le préfet évoque la reprise économique, la nouvelle politique agricole commune, l’environnement et la flex-sécurité. Mais d’abord un moment fort de son discours concernant les migrants et l’accueil qui leur a été réservé dans plusieurs communes du 04. Le préfet salue les élans de solidarité des élus comme des associations tout en restant pragmatique sur le sujet. Bernard Guérin.