2022.02.18 - Pierrevert - NPP - S.Faure & S. Kossmann.mp3 (8.26 Mo)
L’édition de 2021, 13ème du nom, des Nuits de Pierrevert a recueilli un grand succès. Le festival photographique est désormais dans la cour des grands comme l’a souligné le président Stéphane Kossmann lors de l’assemblée générale de l’association. Une montée en puissance depuis quelques années déjà et une renommée qui s’affirme un peu plus à chaque édition.
Conçu par des photographes eux-mêmes il y a 15 ans, le secret de la réussite réside dans la proposition artistique, toujours de haut niveau et l’accueil exceptionnel des habitants de Pierrevert qui ouvrent leurs maisons aux invités du festival. A tel point que des amitiés se nouent et que certains veulent revenir chez leur hôte d’un été.
L’événement est bien soutenu par la DLVA notamment, et bénéficie des aides logistiques importantes de l’agglomération et de la commune. Et également des sponsors tels le Crédit Agricole qui soutient les Nuits depuis le début.
2021 a été marquée par la progression de la muséographie, la double exposition de Vincent Munier à Manosque à la Fondation Carzou et au Centre Giono ayant reçu plus de 6000 visiteurs et 750 scolaires. La vente des affiches de l’exposition a connu un beau succès également ; la fameuse panthère des neiges est désormais dans bien des foyers…
Cet été Pierrevert vibrera encore au rythme des expositions, rencontres et projections et si le programme est encore en gestation, on sait que des photographes de Selma aux Etats-Unis et d’Essaouira au Maroc seront présents et qu’un hommage sera rendu à Jules et Edgard Imbert qui ont oeuvrés en images voilà des décennies ; leurs travaux sont liés historiquement à Pierrevert et à leur temps. Tous deux étaient militaires au tout début du 20ème siècle et ont photographié la Tunisie, l’Algérie ou le Tonkin au gré de leurs carrières. Si Edgard meurt au front en 1915, son frère Jules vivra 50 ans de plus et photographiera son village d’adoption créant une photothèque ethnographique, sociale et artistique de premier ordre.
Ecoutons le président des Nuits Stéphane Kossmann, il évoque les invités américains de 2021 ainsi qu’un stage fructueux entre des jeunes filles de région parisienne et des jeunes du village. Mais d’abord, la vice-présidente de la DLVA Sandra Faure qui a assisté à l’AG de l’association en compagnie de Claire Zahra, nouvelle directrice du service culturel.
François Malabave
Conçu par des photographes eux-mêmes il y a 15 ans, le secret de la réussite réside dans la proposition artistique, toujours de haut niveau et l’accueil exceptionnel des habitants de Pierrevert qui ouvrent leurs maisons aux invités du festival. A tel point que des amitiés se nouent et que certains veulent revenir chez leur hôte d’un été.
L’événement est bien soutenu par la DLVA notamment, et bénéficie des aides logistiques importantes de l’agglomération et de la commune. Et également des sponsors tels le Crédit Agricole qui soutient les Nuits depuis le début.
2021 a été marquée par la progression de la muséographie, la double exposition de Vincent Munier à Manosque à la Fondation Carzou et au Centre Giono ayant reçu plus de 6000 visiteurs et 750 scolaires. La vente des affiches de l’exposition a connu un beau succès également ; la fameuse panthère des neiges est désormais dans bien des foyers…
Cet été Pierrevert vibrera encore au rythme des expositions, rencontres et projections et si le programme est encore en gestation, on sait que des photographes de Selma aux Etats-Unis et d’Essaouira au Maroc seront présents et qu’un hommage sera rendu à Jules et Edgard Imbert qui ont oeuvrés en images voilà des décennies ; leurs travaux sont liés historiquement à Pierrevert et à leur temps. Tous deux étaient militaires au tout début du 20ème siècle et ont photographié la Tunisie, l’Algérie ou le Tonkin au gré de leurs carrières. Si Edgard meurt au front en 1915, son frère Jules vivra 50 ans de plus et photographiera son village d’adoption créant une photothèque ethnographique, sociale et artistique de premier ordre.
Ecoutons le président des Nuits Stéphane Kossmann, il évoque les invités américains de 2021 ainsi qu’un stage fructueux entre des jeunes filles de région parisienne et des jeunes du village. Mais d’abord, la vice-présidente de la DLVA Sandra Faure qui a assisté à l’AG de l’association en compagnie de Claire Zahra, nouvelle directrice du service culturel.
François Malabave