2018-11-29- Reportage Manosque Les Commerces Du 04 En Souffrance.mp3 (3.32 Mo)
Impossible d’éviter le sujet. Lors de l’assemblée générale de la Chambre de commerce et d’industrie des Alpes de Haute-Provence, hier, son président Daniel Margot a tenu un point presse avec Didier Long qui préside l’UDE 04 (Union des entreprises) pour tirer la sonnette d’alarme. Vous les entendrez dans un instant.
Depuis près de 15 jours, les gilets jaunes expriment leurs revendications sur l’avalanche de taxes, notamment liées à la mobilité (carburant, contrôle technique notamment) et si les chefs d’entreprises comprennent ces ressentiments, ils souffrent d’un ralentissement de l’activité qui pénalise les sociétés, patrons comme les salariés.
S’ils peuvent admettre des barrages raisonnablement filtrants, ils refusent comme le Préfet Jacob qu’ils soient bloquants, car à terme, les conséquences peuvent s’avérer économiquement dramatiques. Sans compter l’énervement des automobilistes et salariés qui peuvent être excédés que la situation perdure et risque d’engendrer des frictions. Les entrepreneurs alertent les pouvoirs publics qui vont adapter les demandes de chômage partiel ou recouvrement de charges en tenant compte des blocages. Des livraisons perturbées pour les commerçants et grandes surfaces, des chiffres d’affaires en berne dans une période cruciale, des déplacements compliqués pour tous et une réponse sans voix au plus haut de l’Etat qui n’a pas suffi et contribue à la poursuite d’un mouvement social inédit. Cela ne convient pas aux acteurs économiques des Alpes de Haute-Provence.
Je vous propose d’écouter les deux partenaires CCIT et UDE. Avant Didier Long pour l’UDE, le président de la CCIT évoque la tension qui monte chez ses ressortissants. Daniel Margot.
Depuis près de 15 jours, les gilets jaunes expriment leurs revendications sur l’avalanche de taxes, notamment liées à la mobilité (carburant, contrôle technique notamment) et si les chefs d’entreprises comprennent ces ressentiments, ils souffrent d’un ralentissement de l’activité qui pénalise les sociétés, patrons comme les salariés.
S’ils peuvent admettre des barrages raisonnablement filtrants, ils refusent comme le Préfet Jacob qu’ils soient bloquants, car à terme, les conséquences peuvent s’avérer économiquement dramatiques. Sans compter l’énervement des automobilistes et salariés qui peuvent être excédés que la situation perdure et risque d’engendrer des frictions. Les entrepreneurs alertent les pouvoirs publics qui vont adapter les demandes de chômage partiel ou recouvrement de charges en tenant compte des blocages. Des livraisons perturbées pour les commerçants et grandes surfaces, des chiffres d’affaires en berne dans une période cruciale, des déplacements compliqués pour tous et une réponse sans voix au plus haut de l’Etat qui n’a pas suffi et contribue à la poursuite d’un mouvement social inédit. Cela ne convient pas aux acteurs économiques des Alpes de Haute-Provence.
Je vous propose d’écouter les deux partenaires CCIT et UDE. Avant Didier Long pour l’UDE, le président de la CCIT évoque la tension qui monte chez ses ressortissants. Daniel Margot.