L’écrivain, depuis 10 ans déjà, est un habitué de Manosque. A l’époque, il avait présenté « Un homme louche » son premier roman durant le festival des Correspondances. Puis il a passé plusieurs mois dans la cité de Giono en résidence d’écrivain faisant mûrir son magnifique projet des « Histoires Vraies ». Le principe : il part à la rencontre de personnes qui lui confient si elles le souhaitent des histoires personnelles qui les ont marquées. François Beaune a avalé bien des kilomètres à la recherche de ces confidences et a produit des résultats probants de ces voyages sous forme de livres ou d’entretiens radiophoniques.
Pendant plusieurs semaines, il a ainsi parcouru le Liban, magnétophone en main à la rencontre d’hommes et femmes de tous âges de ce magnifique pays miné par la guerre et les rivalités communautaires.
Il a publié ses travaux dans un ouvrage aux éditions Elizad : « L’esprit de famille, 77 positions libanaises ». Des histoires vraies, donc, où l’humour le dispute à l’horreur avec une finesse orientale sans méchanceté.
Et à Manosque, François Beaune a présenté quelques-unes de ces positions libanaises en les lisant avec brio souvent autour du thème de la famille. De plus, Hussein Oucherfi, lecteur marocain a fait entendre au public la scansion et les sons spécifiques des histoires en langue arabe en regard aux mots français.
Une magnifique soirée – encore une – à mettre à l’actif des parenthèses du mardi du Centre culturel et littéraire Jean Giono.
A l’issue de la représentation bilingue, l’écrivain a répondu à mes questions parfois avec malice, mais toujours intelligemment et en toute lucidité.
Pendant plusieurs semaines, il a ainsi parcouru le Liban, magnétophone en main à la rencontre d’hommes et femmes de tous âges de ce magnifique pays miné par la guerre et les rivalités communautaires.
Il a publié ses travaux dans un ouvrage aux éditions Elizad : « L’esprit de famille, 77 positions libanaises ». Des histoires vraies, donc, où l’humour le dispute à l’horreur avec une finesse orientale sans méchanceté.
Et à Manosque, François Beaune a présenté quelques-unes de ces positions libanaises en les lisant avec brio souvent autour du thème de la famille. De plus, Hussein Oucherfi, lecteur marocain a fait entendre au public la scansion et les sons spécifiques des histoires en langue arabe en regard aux mots français.
Une magnifique soirée – encore une – à mettre à l’actif des parenthèses du mardi du Centre culturel et littéraire Jean Giono.
A l’issue de la représentation bilingue, l’écrivain a répondu à mes questions parfois avec malice, mais toujours intelligemment et en toute lucidité.