Maladie chronique généralement récidivante, l’endométriose touche en moyenne une femme sur dix en âge de procréer. Malgré ses répercussions pénalisantes, elle est souvent mésestimée et peu connue. D’ailleurs, de nombreuses femmes sont dépistées 5 à 10 ans après les premiers symptômes. L’endométriose se manifeste par des douleurs gynécologiques, lombaires, abdominales, des saignements, de la fatigue, mais aussi l’infertilité ou des difficultés pour uriner.
Pour certaines femmes cela entraine l’incapacité de mener une vie normale, professionnelle, familiale et intime malgré de nombreux traitements existants.
Une conférence suivie d’une collation conviviale a été organisée à l’hôpital de Briançon regroupant plus de 70 personnes avec des spécialistes de Gap ainsi que le Clud (service de lutte contre la douleur) et différentes associations traitant de l’endométriose.
Bastien Ripert directeur délégué, et le Dr Giacomo Serboli gynécologue répondent aux questions de Laura Giraud.
Pour certaines femmes cela entraine l’incapacité de mener une vie normale, professionnelle, familiale et intime malgré de nombreux traitements existants.
Une conférence suivie d’une collation conviviale a été organisée à l’hôpital de Briançon regroupant plus de 70 personnes avec des spécialistes de Gap ainsi que le Clud (service de lutte contre la douleur) et différentes associations traitant de l’endométriose.
Bastien Ripert directeur délégué, et le Dr Giacomo Serboli gynécologue répondent aux questions de Laura Giraud.