Hier lundi des responsables régionaux de la CGT AFPA ont tenu une conférence de presse sur les menaces qui pèsent sur leur organisme. Au cœur des préoccupations : la probable suppression du centre de Gap qui fait partie de la liste des 38 structures de la formation professionnelle que la direction nationale de l’AFPA prévoit de supprimer sur 206, en raison de difficultés financières. Rappelons que le centre de Gap forme en moyenne plus de 850 stagiaires principalement dans les métiers du bâtiment, les domaines du froid de l’énergie et de la climatisation. Le taux d’accès à l’emploi dans les six mois des stagiaires et de 73%. Pour la CGT, l’AFPA est un organisme public qui doit permettre de répondre aux enjeux économiques cruciaux par la formation professionnelle qualifiante de qualité. Mais cela nécessite des choix, des décisions et des engagements politiques de long terme qui dépassent très largement les décisions économiques à court terme prise par ses dirigeants.
La CGT refuse toute décision de la direction consistant à licencier des salariés et à liquider des centres de formation sur le territoire.
Elle appelle les salariés et les usagers à se mobiliser partout pour la défense des centres AFPA et l’accès à une formation qualifiante de toutes et tous. Je vous propose d’écouter Odile Gravez, pour la CGT AFPA. Elle répond aux questions de notre ami Vince.
La CGT refuse toute décision de la direction consistant à licencier des salariés et à liquider des centres de formation sur le territoire.
Elle appelle les salariés et les usagers à se mobiliser partout pour la défense des centres AFPA et l’accès à une formation qualifiante de toutes et tous. Je vous propose d’écouter Odile Gravez, pour la CGT AFPA. Elle répond aux questions de notre ami Vince.