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Irresponsabilité, inconscience ou bêtise, l’avenir du buffet de la gare de Briançon est en suspens !
Frédéric Garcia gérant du très utile établissement depuis près d’un an et demi se confie à Fréquence Mistral au micro de Laura Giraud sur la situation l’opposant à la SNCF actuellement. Suite à l’occupation des lieux d’une centaine de migrants arrivés dans la nuit de lundi dernier sur Briançon. La SNCF ayant décidé de les expulser mardi 10 avril au matin avec les CRS et depuis, grève oblige, il n’y a plus de train pour les voyageurs. La gare est fermée pour désinfection, c’est le terme employé, mais rien ne se passe. Grèves, travaux, actualité, le gérant ne peut se permettre de fermer à chaque fois que la SNCF est inopérante. Un vigile devant la porte et des verrous sur les toilettes. Pas très engageant pour les clients. Ce gérant raconte son inquiétude, l’impact sur son moral et celui de ses 3 employés, son chiffre d’affaires en baisse, l’avenir immédiat incertain et surtout son incompréhension face au comportement de la SNCF. Frédéric Garcia tente de sauver son commerce mais reste sans réponse depuis plus d’une semaine.
Frédéric Garcia gérant du très utile établissement depuis près d’un an et demi se confie à Fréquence Mistral au micro de Laura Giraud sur la situation l’opposant à la SNCF actuellement. Suite à l’occupation des lieux d’une centaine de migrants arrivés dans la nuit de lundi dernier sur Briançon. La SNCF ayant décidé de les expulser mardi 10 avril au matin avec les CRS et depuis, grève oblige, il n’y a plus de train pour les voyageurs. La gare est fermée pour désinfection, c’est le terme employé, mais rien ne se passe. Grèves, travaux, actualité, le gérant ne peut se permettre de fermer à chaque fois que la SNCF est inopérante. Un vigile devant la porte et des verrous sur les toilettes. Pas très engageant pour les clients. Ce gérant raconte son inquiétude, l’impact sur son moral et celui de ses 3 employés, son chiffre d’affaires en baisse, l’avenir immédiat incertain et surtout son incompréhension face au comportement de la SNCF. Frédéric Garcia tente de sauver son commerce mais reste sans réponse depuis plus d’une semaine.