En 1958, un photographe allemand âgé de 20 ans débarque en Provence pour demander à Jean Giono un texte pour illustrer son premier livre de photos consacré à la Camargue. Répondant au culot du jeune artiste, l’auteur de Regain écrira une préface lumineuse qui lancera la carrière de Hans Silvester. Soixante ans après et fort de plus de 50 ouvrages magnifiques, le photographe retrouve Manosque et Giono pour une exposition étonnante.
En 1994, il a assisté au tournage du film « Le hussard sur le toit » par Jean-Paul Rappeneau, seule expérience liée au cinéma pour ce féru d’écologie rompu aux clichés sur des animaux, des peuples dits primitifs ou les ravages environnementaux.
Son témoignage visuel est exceptionnel, car l’ambition et le budget du réalisateur ont produit un film magnifique où Juliette Binoche, Olivier Martinez, Gérard Depardieu, Isabelle Carré, Yolande Moreau, Jean Yanne et tant d’autres sans oublier les très réalistes figurants font du Hussard une œuvre flamboyante dans le cinéma français. Et si Hans a accepté cette tâche, c’est en respect et admiration pour Jean Giono. Ses retrouvailles avec Manosque ont une tournure personnelle émouvante.
L’exposition du tournage est accrochée jusqu’à la fin septembre à la Fondation Carzou. Et en même temps, la ville de Manosque s’est parée de superbes photos d’épouvantails qui donnent aux rues et places un côté attractif. Le promeneur est invité à lever les yeux et prendre le temps ; ce n’est pas si souvent…
Des épouvantails à travers le monde pour éloigner les oiseaux, les singes ou… les mauvais esprits. Un livre sur cet art éphémère paraîtra aux éditions de La Martinière le 12 septembre prochain. Hans Silvester parle de cette exposition dans les rues de Manosque mais d’abord, ses souvenirs des plans et plateaux du film de Rappeneau, une expérience unique pour lui…
En 1994, il a assisté au tournage du film « Le hussard sur le toit » par Jean-Paul Rappeneau, seule expérience liée au cinéma pour ce féru d’écologie rompu aux clichés sur des animaux, des peuples dits primitifs ou les ravages environnementaux.
Son témoignage visuel est exceptionnel, car l’ambition et le budget du réalisateur ont produit un film magnifique où Juliette Binoche, Olivier Martinez, Gérard Depardieu, Isabelle Carré, Yolande Moreau, Jean Yanne et tant d’autres sans oublier les très réalistes figurants font du Hussard une œuvre flamboyante dans le cinéma français. Et si Hans a accepté cette tâche, c’est en respect et admiration pour Jean Giono. Ses retrouvailles avec Manosque ont une tournure personnelle émouvante.
L’exposition du tournage est accrochée jusqu’à la fin septembre à la Fondation Carzou. Et en même temps, la ville de Manosque s’est parée de superbes photos d’épouvantails qui donnent aux rues et places un côté attractif. Le promeneur est invité à lever les yeux et prendre le temps ; ce n’est pas si souvent…
Des épouvantails à travers le monde pour éloigner les oiseaux, les singes ou… les mauvais esprits. Un livre sur cet art éphémère paraîtra aux éditions de La Martinière le 12 septembre prochain. Hans Silvester parle de cette exposition dans les rues de Manosque mais d’abord, ses souvenirs des plans et plateaux du film de Rappeneau, une expérience unique pour lui…