Avec le réseau d’accueil dans les familles ou encore la maison de Marcel à Puy St Pierre le refuge solidaire de Briançon est une pièce importante pour accueillir les migrants qui traversent la frontière italienne.
Dans cette ancienne caserne des CRS, mise à disposition par la Communauté de communes du Briançonnais, des dizaines de citoyens s’activent pour soigner, nourrir et accompagner les personnes souvent épuisées qui y atterrissent.
Ce lieu a été aménagé et leur permet de se reposer après un périple angoissant, d’être soignés et nourris avant de continuer leur parcours migratoire. Plusieurs équipes assurent la gestion quotidienne du refuge où des dizaines de bénévoles se relaient tous les jours pour assurer les milliers de repas chaque mois, le ménage, les soins, pour apporter une écoute ou encore aider dans les démarches administratives. Tous ont compris depuis le début des arrivées massives qu’il y avait urgence. Mais ils sont encore à la recherche de dons et de bras supplémentaires pour la pérennité de cette action face à l’afflux des migrants. Bénévole au refuge solidaire, Pauline Rey répond aux questions de Laura Giraud.
Dans cette ancienne caserne des CRS, mise à disposition par la Communauté de communes du Briançonnais, des dizaines de citoyens s’activent pour soigner, nourrir et accompagner les personnes souvent épuisées qui y atterrissent.
Ce lieu a été aménagé et leur permet de se reposer après un périple angoissant, d’être soignés et nourris avant de continuer leur parcours migratoire. Plusieurs équipes assurent la gestion quotidienne du refuge où des dizaines de bénévoles se relaient tous les jours pour assurer les milliers de repas chaque mois, le ménage, les soins, pour apporter une écoute ou encore aider dans les démarches administratives. Tous ont compris depuis le début des arrivées massives qu’il y avait urgence. Mais ils sont encore à la recherche de dons et de bras supplémentaires pour la pérennité de cette action face à l’afflux des migrants. Bénévole au refuge solidaire, Pauline Rey répond aux questions de Laura Giraud.