A Digne, c’est la 1ère fois que sont organisés, en collaboration entre Femmes Solidaires 04, le CIDFF, Soroptimist, et Inner Wheel, 2 jours d’événements autour du Droit des Femmes. Depuis 22 ans Femmes Solidaires proposaient des événements le 8 mars et en 2018, elles s’étaient associées à Amnesty international. Cette année, c’est une organisation commune de Femmes Solidaires, du Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles, et des clubs Soroptimist et Inner Wheel qui permettra au public, dès le jeudi 7 mars 18h30 d’assister à une pièce de théâtre intitulée « Jeux de scène » par la Compagnie A p’Art être et le théâtre Mandin. Une pièce de Victor Haïm, sur la communication et les rapports de force. L’intégralité des bénéfices servira à financer des séances d’équithérapie au profit des enfants malades du CAMSP de Digne.
Puis Vendredi 8 mars, en partenariat avec le Cinétoiles, de nombreux stands et animations autour de l’égalité femme-homme dès 13h30 dans le hall du Cinéma et à 18h, la projection-débat de « The Battle of sexes », un film qui relate l’histoire vraie de la confrontation entre la joueuse de tennis américaine Billie Jean King, âgée alors de 29 ans, et Bobby Riggs ancien numéro 1 mondial au milieu des années 40. L’américaine a remporté la confrontation 3 sets à zéro. Responsable de l’antenne Femmes Solidaires de Digne et également administratrice au CIDFF, Jacqueline Hennegrave répond aux questions d’Odile Frison.
Puis Vendredi 8 mars, en partenariat avec le Cinétoiles, de nombreux stands et animations autour de l’égalité femme-homme dès 13h30 dans le hall du Cinéma et à 18h, la projection-débat de « The Battle of sexes », un film qui relate l’histoire vraie de la confrontation entre la joueuse de tennis américaine Billie Jean King, âgée alors de 29 ans, et Bobby Riggs ancien numéro 1 mondial au milieu des années 40. L’américaine a remporté la confrontation 3 sets à zéro. Responsable de l’antenne Femmes Solidaires de Digne et également administratrice au CIDFF, Jacqueline Hennegrave répond aux questions d’Odile Frison.