Invité par la MJC du Briançonnais, la compagnie Tamèrantong est restée 4 jours à Briancon pour donner leur spectacle « La Tsigane de Lord Stanley », et avoir des échanges avec le public et les enfants Briançonnais. Créée par la comédienne Christine Pellicane en 1992, la compagnie Tamèrantong monte des spectacles avec les enfants des quartiers populaires. Et depuis 20 ans, elle parle de tolérance, de diversité, d’exclusion avec les enfants des quartiers populaires. Elle mène ses actions en région parisienne à Belleville, Mantes-la-Jolie et depuis 2006, à La Plaine Saint-Denis (93) ; Tamèrantong compte 4 troupes de 87 enfants et adolescents issus de ces 3 villes.
Leur dernière performance « La Tsigane de Lord Stanley » a eu lieu, le mardi 17 février, au théâtre du Briançonnais. 4 ans de travail, avec les enfants du quartier de La Plaine Saint-Denis, pour monter ce spectacle. C’est une histoire d’amour a priori impossible entre une Tsigane et un Gadjo, un monde où tout oppose : culture, tradition, milieu social. Une grande réussite pour la troupe de 23 acteurs âgés de 9 à 14 ans. Ils ont enchanté le public avec un très beau spectacle, joyeux, positif et plein de bonnes énergies, par le chant, la danse, et la musique tsigane. Avec leurs multiples cultures, ils ont porté avec éclat la symbolique de la pièce. Une contre-offensive artistique et citoyenne pour tenter de fédérer la force, la richesse et la poésie de notre société multiculturelle, un message qu’ils ont bien fait passer.
Nous vous proposons un reportage en deux parties : nous reviendrons demain sur les échanges acteurs-spectateurs au collège Vauban, mais d’abord la représentation. Après le spectacle deux comédiens, Ilef et Jean-Luc, ont répondu aux questions de Susannah Wright, suivi par des réactions et un extrait du spectacle.
Leur dernière performance « La Tsigane de Lord Stanley » a eu lieu, le mardi 17 février, au théâtre du Briançonnais. 4 ans de travail, avec les enfants du quartier de La Plaine Saint-Denis, pour monter ce spectacle. C’est une histoire d’amour a priori impossible entre une Tsigane et un Gadjo, un monde où tout oppose : culture, tradition, milieu social. Une grande réussite pour la troupe de 23 acteurs âgés de 9 à 14 ans. Ils ont enchanté le public avec un très beau spectacle, joyeux, positif et plein de bonnes énergies, par le chant, la danse, et la musique tsigane. Avec leurs multiples cultures, ils ont porté avec éclat la symbolique de la pièce. Une contre-offensive artistique et citoyenne pour tenter de fédérer la force, la richesse et la poésie de notre société multiculturelle, un message qu’ils ont bien fait passer.
Nous vous proposons un reportage en deux parties : nous reviendrons demain sur les échanges acteurs-spectateurs au collège Vauban, mais d’abord la représentation. Après le spectacle deux comédiens, Ilef et Jean-Luc, ont répondu aux questions de Susannah Wright, suivi par des réactions et un extrait du spectacle.
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Durée: 8'11"