C’est avec un petit pincement au cœur que Yann Le Bras, directeur du Centre Hospitalier intercommunale des Alpes du Sud, le Chicas, a signé mardi dernier la cession des locaux de l’Adret à la ville de Gap représentée par son premier magistrat, Roger Didier. Une page de l’histoire de ces bâtiments se tourne. Grand séminaire jusqu’à la révolution, il fut longtemps occupé par les pères Blancs. Racheté en 1983 par le Chicas, il devient alors l’Adret, un Pôle gériatrique de différents niveaux bien connu des gapençais.
L’Adret est constitué de deux bâtiments. Tout d’abord un EPHAD, une maison de retraite, qui accueillera courant 2016 les résidents du foyer Bellevue frappé d’obsolescence. Ensuite l’immense bâtiment de l’ancien grand séminaire qui abritera pour partie une crèche et dont les autres locaux n’ont pas encore de destination précise. Enfin un parc d’environ 10.000 m² devrait retrouver sa vocation de poumon vert de la ville ou chacun pourra flâner à souhait. La chapelle, désacralisée depuis quelques années, deviendra quant à elle salle polyvalente. Au micro de Gilles Rey, Yan le Bras explique l’utilisation qui sera faite des fonds de la vente et Roger Didier décrit ce que sera ce futur pole d’activités gapençais.
L’Adret est constitué de deux bâtiments. Tout d’abord un EPHAD, une maison de retraite, qui accueillera courant 2016 les résidents du foyer Bellevue frappé d’obsolescence. Ensuite l’immense bâtiment de l’ancien grand séminaire qui abritera pour partie une crèche et dont les autres locaux n’ont pas encore de destination précise. Enfin un parc d’environ 10.000 m² devrait retrouver sa vocation de poumon vert de la ville ou chacun pourra flâner à souhait. La chapelle, désacralisée depuis quelques années, deviendra quant à elle salle polyvalente. Au micro de Gilles Rey, Yan le Bras explique l’utilisation qui sera faite des fonds de la vente et Roger Didier décrit ce que sera ce futur pole d’activités gapençais.