Depuis 10 ans Dominique Périer façonne ses pareidolies (du grec ancien para-, « à côté de », et eidôlon, diminutif d’eidos, « apparence, forme »). Ces morceaux de bois prennent vie dans les mains de Dominique Périer et la rivière Le Bès qui les charrient n’a pas fini de livrer ses secrets et silhouettes. En « saupoudrant » d’argile ces formes parfois très surprenantes, Dominique arrive presque à donner une âme à ses enfants influencés par l’Afrique. L’exposition se tient à la Médiathèque François Mitterrand jusqu’au 14 novembre et accueille des œuvres bien singulières qui ne demandent qu’à être découvertes sous le feu des éclairages.
Ecoutons-la parler de ses « bébés » dans ce reportage de Jean-Marc Léca.
Ecoutons-la parler de ses « bébés » dans ce reportage de Jean-Marc Léca.