Les passeurs de mémoire Rouchouane patoisant font revivre le passé.mp3 (3.93 Mo)
Le groupe écoute avec attention les histoires et anecdotes dont la plupart sont racontées par le maître des lieux, Francis Massieye. Le lundi après midi, ils sont une poignée de passionnés des us et coutumes d’autrefois à s’imprégner de la chaleur ambiante de l’écurie située au mas des Queyras tout en cassant des noix et autres travaux. Ils retrouvent à La Roche de Rame une atmosphère des veillées d’antan où chacun allait de son histoire qui égayait les longues soirées d’hiver. Les temps ont bien changé mais le groupe s’est donné naturellement comme objectif de refaire vivre le passé. Sous la plume de l’un des membres, Jean Foucras, « Les cahiers des passeurs de mémoire Rouchoun patoïsant » est un recueil de témoignages et de recherches sur un thème défini en lien avec le village ou les environs.
Le groupe historique n’hésite pas à transporter un matériel digne des forains pour présenter ses activités dans quelques communes environnantes et surtout lors de la fête de la Saint Laurent au village. Outre la dégustation du café d’orge et de l’huile de noix (entièrement confectionnés à partir de produits bio), la présentation d’outils anciens, la réalisation de battoirs et de tacoules (clés à lier les ballots de foin), la construction de bourneaux (billes de bois percées par une longue tarière qui permettaient de réaliser l’adduction d’eau autrefois), tout cela intriguent les visiteurs. Jean François Albran préside l’association Les passeurs de mémoire Rouchoun patoïsant. Il répond aux questions de Laura Giraud.
Le groupe historique n’hésite pas à transporter un matériel digne des forains pour présenter ses activités dans quelques communes environnantes et surtout lors de la fête de la Saint Laurent au village. Outre la dégustation du café d’orge et de l’huile de noix (entièrement confectionnés à partir de produits bio), la présentation d’outils anciens, la réalisation de battoirs et de tacoules (clés à lier les ballots de foin), la construction de bourneaux (billes de bois percées par une longue tarière qui permettaient de réaliser l’adduction d’eau autrefois), tout cela intriguent les visiteurs. Jean François Albran préside l’association Les passeurs de mémoire Rouchoun patoïsant. Il répond aux questions de Laura Giraud.