A la manière d’un Diderot, ses connaissances sur le sujet relèvent de l’encyclopédie mais également dans la lignée d’Andy Warhol, l’art et l’expression dominent.
La dernière exposition de la Fondation Carzou à Manosque ne laisse pas indifférent.
L’artiste invitée Marina DH propose un voyage culturel au pays des panneaux. Panneaux routiers de préférence. Point de départ d’un travail d’Arts plastiques à l’université voilà longtemps, elle a prolongé son approche par des recherches et réalisations surprenantes. Incollable sur l’histoire de notre signalisation routière, elle a récupéré çà et là des matériaux obsolètes ou ayant un défaut et les a détournés au gré de son esprit, fin et caustique.
Ainsi, l’urinoir de Duchamp, l’Afrique-Madiba ou une banane scotchée à 120 000 € sont de la partie. Tout comme des interprétations pleines de références routières à des toiles célèbres. Un fameux cri silencieux, la rencontre piquante de Charlotte et Marat, des Demoiselles en Avignon ou encore un radeau de la méduse sont autant d’œuvres reconnues et qui, passées au filtre de panneaux provoquent réflexions et sourire grâce à l’humour malicieux de la plasticienne. Ajoutez à cela des digressions de jeux de sociétés et quelques sculptures tout aussi ornées et vous aurez 80 œuvres à voir jusqu’à la fin avril à la Fondation Carzou.
Suivons Marina DH dans cette exposition où il est recommandé de ne pas trop se fier aux panneaux…
La dernière exposition de la Fondation Carzou à Manosque ne laisse pas indifférent.
L’artiste invitée Marina DH propose un voyage culturel au pays des panneaux. Panneaux routiers de préférence. Point de départ d’un travail d’Arts plastiques à l’université voilà longtemps, elle a prolongé son approche par des recherches et réalisations surprenantes. Incollable sur l’histoire de notre signalisation routière, elle a récupéré çà et là des matériaux obsolètes ou ayant un défaut et les a détournés au gré de son esprit, fin et caustique.
Ainsi, l’urinoir de Duchamp, l’Afrique-Madiba ou une banane scotchée à 120 000 € sont de la partie. Tout comme des interprétations pleines de références routières à des toiles célèbres. Un fameux cri silencieux, la rencontre piquante de Charlotte et Marat, des Demoiselles en Avignon ou encore un radeau de la méduse sont autant d’œuvres reconnues et qui, passées au filtre de panneaux provoquent réflexions et sourire grâce à l’humour malicieux de la plasticienne. Ajoutez à cela des digressions de jeux de sociétés et quelques sculptures tout aussi ornées et vous aurez 80 œuvres à voir jusqu’à la fin avril à la Fondation Carzou.
Suivons Marina DH dans cette exposition où il est recommandé de ne pas trop se fier aux panneaux…
2020-03-09 - Manosque - Marina DH.mp3 (6.65 Mo)