Ni d’inégalité de salaire pour des athlètes de haut niveau, hommes ou femmes. A Digne, un débat a eu lieu autour du film Battle of sexes (la bataille des sexes) qui relate l’histoire vraie du match de tennis entre Billie Jean King et Bobby Riggs.
1972, la championne américaine Billie Jean King remporte trois titres du Grand Chelem. Loin de se satisfaire de son palmarès, elle s'engage dans un combat pour que les femmes soient aussi respectées que les hommes sur les courts de tennis. De son côté l'ancien numéro un mondial, Bobby Riggs, profondément misogyne et provocateur, met Billie Jean au défi de l'affronter en match simple.
Un film qui a résonné pour Stéphanie Chabert, 28 ans d’escrime et 20 années de pompier volontaire, aujourd’hui Maître d’arme et professeur de Sabre laser. Faire tomber les préjugés de genre n’est pas simple et la rencontre entre Stéphanie et le public, l’a prouvé. Elle a partagé son expérience avec le public, juste avant le film. Son combat aura été permanent pour se faire accepter des hommes avec lesquels elle partageait sa passion du sport, escrime ou rugby, et se faire accepter aussi chez les pompiers volontaires pendant 20 ans. Etre une femme, devenir Sergent-Chef et diriger des équipes d’hommes, une lutte, un combat permanent pour faire ses preuves. Une réflexion qui ne laisse pas indifférent. Le chemin est encore long pour faire tomber les tabous de genre, dans le sport, ou l’exercice d’un métier. Stéphanie Chabert répond aux questions d’Odile Frison.
1972, la championne américaine Billie Jean King remporte trois titres du Grand Chelem. Loin de se satisfaire de son palmarès, elle s'engage dans un combat pour que les femmes soient aussi respectées que les hommes sur les courts de tennis. De son côté l'ancien numéro un mondial, Bobby Riggs, profondément misogyne et provocateur, met Billie Jean au défi de l'affronter en match simple.
Un film qui a résonné pour Stéphanie Chabert, 28 ans d’escrime et 20 années de pompier volontaire, aujourd’hui Maître d’arme et professeur de Sabre laser. Faire tomber les préjugés de genre n’est pas simple et la rencontre entre Stéphanie et le public, l’a prouvé. Elle a partagé son expérience avec le public, juste avant le film. Son combat aura été permanent pour se faire accepter des hommes avec lesquels elle partageait sa passion du sport, escrime ou rugby, et se faire accepter aussi chez les pompiers volontaires pendant 20 ans. Etre une femme, devenir Sergent-Chef et diriger des équipes d’hommes, une lutte, un combat permanent pour faire ses preuves. Une réflexion qui ne laisse pas indifférent. Le chemin est encore long pour faire tomber les tabous de genre, dans le sport, ou l’exercice d’un métier. Stéphanie Chabert répond aux questions d’Odile Frison.