Cela va faire dix ans que des photographes passionnés ont créé ce concept artistique et convivial des Nuits Photographiques de Pierrevert. Et depuis ses débuts, la manifestation draine un public passionné et des créateurs étonnants. Pouvoir croiser Peter Knapp, Hans Silvester, Denis Brillat ou encore Oliviero Toscani et aussi découvrir de jeunes talents à l’instar de Marie Mons ou Lionel Jusseret l’année dernière, tout est bon à prendre dans ce seul festival dédié à l’image fixe dans les Alpes du Sud. Et sans faire concurrence aux immenses Rencontres d’Arles, Pierrevert fait son chemin en toute passion. Grâce aux professionnels, mais aussi aux dizaines de bénévoles qui participent à l’animation, hébergent les photographes et donnent la main aux organisateurs.
Pour cette dixième édition, la fête sera belle car l’équipe des Nuits entend réunir les parrains des 9 festivals précédents. L’édition promet d’être magnifique. D’autant plus que la Fondation Carzou accueillera les photos de Marc Riboud, superbe témoin d’un 20° siècle en ébullition dont les photos telle la jeune fille à la fleur sont célèbres. Et puis le photographe en résidence n’est autre que Louai Barakat, le reporter syrien dont les photos d’Alep ont été accrochées voilà deux mois dans nos studios. Son exposition coréalisée avec les Nuits aura donc une suite ; nous en sommes ravis.
Je vous propose d’écouter le président du festival, Stéphane Kosmann à l’issue de l’assemblée générale annuelle où avec le directeur artistique François-Xavier Emery, le trésorier Jean-Paul Julien et la secrétaire générale Claude Bouliou il a dressé un bilan encourageant des Nuits 2017 ; de quoi augurer un somptueux rendez-vous cet été.
Pour cette dixième édition, la fête sera belle car l’équipe des Nuits entend réunir les parrains des 9 festivals précédents. L’édition promet d’être magnifique. D’autant plus que la Fondation Carzou accueillera les photos de Marc Riboud, superbe témoin d’un 20° siècle en ébullition dont les photos telle la jeune fille à la fleur sont célèbres. Et puis le photographe en résidence n’est autre que Louai Barakat, le reporter syrien dont les photos d’Alep ont été accrochées voilà deux mois dans nos studios. Son exposition coréalisée avec les Nuits aura donc une suite ; nous en sommes ravis.
Je vous propose d’écouter le président du festival, Stéphane Kosmann à l’issue de l’assemblée générale annuelle où avec le directeur artistique François-Xavier Emery, le trésorier Jean-Paul Julien et la secrétaire générale Claude Bouliou il a dressé un bilan encourageant des Nuits 2017 ; de quoi augurer un somptueux rendez-vous cet été.