2021.07.23 - Valensole - BEA.mp3 (6.98 Mo)
Lauréate avec une dizaine d’autres sociétés dans les Alpes de Haute-Provence, l’entreprise BEA accueillait ce lundi partenaires élus et institutionnels. Au premier rang desquels la Préfète Démaret, la sous préfète William, des représentants du Département, de la DLVA, de l’UDE et de l’AD 04, Valensole, Forcalquier et sa communauté de communes notamment.
Accueillis par le directeur général de Bains et Arômes Mounir Battiza et son équipe, ils ont visité le laboratoire de production de Valensole qui complète efficacement le siège historique de Forcalquier. C’est en 1992 que Pierre Garcin, un ancien de L’Occitane, crée une entreprise de cosmétiques qui sera une sous-traitante de bien des marques. Trente ans après, et sur deux sites, BEA est sous la coupe du groupe CONDAT et exporte la moitié de sa production à l’étranger et notamment vers une structure américaine portant le doux nom de Mistral. Des produits de toilette et bain raffinés qui fleurent bon la Provence.
Car BEA est ancrée dans son terroir : lavande, miel, huile d’olive rejoignent les beurre de karité, monoï et autres produits plus exotiques pour composer des savons et shampoings aux parfums inoubliables.
BEA se développe, recrute (vous entendrez le directeur général lancer un appel dans un instant) et investit pour grandir. Des millions d’euros ont déjà été investis et d’autres suivront. C’est dans ce cadre que les 200 000 € attribués par le plan de relance trouvent leur place.
Violaine Démaret, préfète des Alpes de Haute-Provence en parle juste après l’intervention de Mounir Battiza, mais d’abord et en référence à l’histoire de BEA, Michel Dalmasso, élu à la ville de Forcalquier et sa communauté de communes et depuis peu également vice-président du Conseil départemental…
François Malabave
Accueillis par le directeur général de Bains et Arômes Mounir Battiza et son équipe, ils ont visité le laboratoire de production de Valensole qui complète efficacement le siège historique de Forcalquier. C’est en 1992 que Pierre Garcin, un ancien de L’Occitane, crée une entreprise de cosmétiques qui sera une sous-traitante de bien des marques. Trente ans après, et sur deux sites, BEA est sous la coupe du groupe CONDAT et exporte la moitié de sa production à l’étranger et notamment vers une structure américaine portant le doux nom de Mistral. Des produits de toilette et bain raffinés qui fleurent bon la Provence.
Car BEA est ancrée dans son terroir : lavande, miel, huile d’olive rejoignent les beurre de karité, monoï et autres produits plus exotiques pour composer des savons et shampoings aux parfums inoubliables.
BEA se développe, recrute (vous entendrez le directeur général lancer un appel dans un instant) et investit pour grandir. Des millions d’euros ont déjà été investis et d’autres suivront. C’est dans ce cadre que les 200 000 € attribués par le plan de relance trouvent leur place.
Violaine Démaret, préfète des Alpes de Haute-Provence en parle juste après l’intervention de Mounir Battiza, mais d’abord et en référence à l’histoire de BEA, Michel Dalmasso, élu à la ville de Forcalquier et sa communauté de communes et depuis peu également vice-président du Conseil départemental…
François Malabave