2021.11.12 - UMIH 04.mp3 (7.85 Mo)
A la restauration et à l’hôtellerie il faut ajouter les discothèques dont les fermetures liées à la crise sanitaire ont été longues parfois fatales pour certains établissements.
Car en plus des fermetures contraintes et des ouvertures sous conditions, c’est aussi la fuite des salariés saisonniers ou non qui a pénalisé le secteur. Sans oublier le remboursement des prêts garantis par l’Etat qui ont amorti la crise mais qu’il faut honorer même si Bercy a rallongé ses délais.
Cependant, la situation s’améliore, un été convenable et des vacances de Toussaint très positives, la profession remonte la pente mais par rapport à 2019, année sans covid, une baisse de 10% est encore perceptible.
Parmi les aides de l’Etat, l’activité à temps partiel et des fonds dédiés ont également joué à plein.
La profession est consciente qu’il faut rendre plus attractifs les emplois de ceux qui travaillent tard le soir ou le week-end quand les autres sont de repos. Salaires, charges et pourboires occupent l’esprit des professionnels de même que les primes d’intéressement ou des facilités de logement ou de garde d’enfants.
Accueillis à Gréoux par le maire Paul Audan et leur président d’honneur Jean-Claude Redolfi, les membres de l’UMIH 04 (union des métiers et de l’industrie de l’hôtellerie) affichent une belle unité. A l’issue des travaux, le président Thierry Souêtre et la directrice des finances publiques Isabelle Godard Devaujany ont évoqué la situation et les aides aux professionnels.
François Malabave
Car en plus des fermetures contraintes et des ouvertures sous conditions, c’est aussi la fuite des salariés saisonniers ou non qui a pénalisé le secteur. Sans oublier le remboursement des prêts garantis par l’Etat qui ont amorti la crise mais qu’il faut honorer même si Bercy a rallongé ses délais.
Cependant, la situation s’améliore, un été convenable et des vacances de Toussaint très positives, la profession remonte la pente mais par rapport à 2019, année sans covid, une baisse de 10% est encore perceptible.
Parmi les aides de l’Etat, l’activité à temps partiel et des fonds dédiés ont également joué à plein.
La profession est consciente qu’il faut rendre plus attractifs les emplois de ceux qui travaillent tard le soir ou le week-end quand les autres sont de repos. Salaires, charges et pourboires occupent l’esprit des professionnels de même que les primes d’intéressement ou des facilités de logement ou de garde d’enfants.
Accueillis à Gréoux par le maire Paul Audan et leur président d’honneur Jean-Claude Redolfi, les membres de l’UMIH 04 (union des métiers et de l’industrie de l’hôtellerie) affichent une belle unité. A l’issue des travaux, le président Thierry Souêtre et la directrice des finances publiques Isabelle Godard Devaujany ont évoqué la situation et les aides aux professionnels.
François Malabave
