Le premier festival d’art urbain de Sisteron s’est déroulé du 12 au 15 août laissant carte blanche à une trentaine d’artistes pour des œuvres étonnantes et parfois éphémères. Cette manifestation qui a affiché une diversité artistique et invitait au partage et à la réflexion ; ce fut une pleine réussite.
Les visiteurs ont pu apprécier ou non les œuvres proposées et également dialoguer avec les créateurs. Pour beaucoup ce fut la découverte d’une forme nouvelle d’expression artistique et culturelle. Du centre ville jusqu’au plan d’eau, une multitude d’initiatives s’exposaient devant des gens souvent étonnés, et quelquefois subjugués par les matières utilisées, le sens aigüe des messages, l’expression parfois sombre ou lumineuse des artistes. Ces derniers garderont certainement la qualité de l’accueil réservé et la convivialité partagée de l’événement.
Cat Balu et Audrey Barbati, deux artistes locaux répondent aux questions de Patrice Vernet
Les visiteurs ont pu apprécier ou non les œuvres proposées et également dialoguer avec les créateurs. Pour beaucoup ce fut la découverte d’une forme nouvelle d’expression artistique et culturelle. Du centre ville jusqu’au plan d’eau, une multitude d’initiatives s’exposaient devant des gens souvent étonnés, et quelquefois subjugués par les matières utilisées, le sens aigüe des messages, l’expression parfois sombre ou lumineuse des artistes. Ces derniers garderont certainement la qualité de l’accueil réservé et la convivialité partagée de l’événement.
Cat Balu et Audrey Barbati, deux artistes locaux répondent aux questions de Patrice Vernet
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Durée : 8' 01''