JR-2020-06-11 - Sisteron-Sid-Artiste.mp3 (7.96 Mo)
Artiste autodidacte, Sid’Ali Hams se distingue par la diversité de son art. Sculpteur, céramiste sur pierre de lave et faïence, décorateur, illustrateur… Sid se définit comme un être humain dans l’aventure de la vie et qui touche à des matières.
Dans les années 80, l'artiste intègre le groupe "Art Cloche" installé à Paris, particulièrement influencé par l'art brut et singulier, avant de rejoindre le groupe Cobra en 1989. Les murs de Paris sont ses premiers supports dans les années 90. Il y peint des portraits, particulièrement de "Zohra la magnifique", portrait de sa mère qu'il brandit comme un symbole contre la terreur des années 1995-96 en Algérie. Ces portraits éphémères le font remarquer par de nombreuses galeries. A cette époque, Sid'Ali utilise régulièrement le papier journal comme support de ses œuvres, car il contient une empreinte sociale forte. En 2002, après sa participation au documentaire "La danse du guerrier" dont il est le fil conducteur, il décide de prendre la direction des Alpes de Haute-Provence et s’installe dans un lieu qui attisera son inspiration, et c’est dans la cité de Paul Arène que le charme va opérer. Depuis Sid’ a établi son atelier au cœur du centre historique de Sisteron où le voyage continue au travers des peintures et expositions qui dépassent les frontières. Dernièrement l’artiste s’est mis à l’écriture pour la réalisation d’un ouvrage dans un nouveau concept et dont le titre sera une surprise…
Rencontre avec celui pour qui les rencontres ne sont jamais des hasards !
Sid’ est au micro de Chriss Alessandri.
Dans les années 80, l'artiste intègre le groupe "Art Cloche" installé à Paris, particulièrement influencé par l'art brut et singulier, avant de rejoindre le groupe Cobra en 1989. Les murs de Paris sont ses premiers supports dans les années 90. Il y peint des portraits, particulièrement de "Zohra la magnifique", portrait de sa mère qu'il brandit comme un symbole contre la terreur des années 1995-96 en Algérie. Ces portraits éphémères le font remarquer par de nombreuses galeries. A cette époque, Sid'Ali utilise régulièrement le papier journal comme support de ses œuvres, car il contient une empreinte sociale forte. En 2002, après sa participation au documentaire "La danse du guerrier" dont il est le fil conducteur, il décide de prendre la direction des Alpes de Haute-Provence et s’installe dans un lieu qui attisera son inspiration, et c’est dans la cité de Paul Arène que le charme va opérer. Depuis Sid’ a établi son atelier au cœur du centre historique de Sisteron où le voyage continue au travers des peintures et expositions qui dépassent les frontières. Dernièrement l’artiste s’est mis à l’écriture pour la réalisation d’un ouvrage dans un nouveau concept et dont le titre sera une surprise…
Rencontre avec celui pour qui les rencontres ne sont jamais des hasards !
Sid’ est au micro de Chriss Alessandri.