Que le poète nous permette ce joli clin d’œil suite à la belle animation qui a régné samedi à Aix-en-Provence. La librairie Goulard sur le cours Mirabeau a accueilli des défenseurs de la presse libre et indépendante. A l’initiative de passionnés, acteurs de site internet, web-tv, journaux ou radios de la région, mais aussi reporters sans frontières ou la Licra, la journée internationale de la liberté de la presse a rassemblé journalistes, écrivains, caricaturistes, artistes et citoyens autour du slogan « Je suis TOUJOURS Charlie ».
Un plateau TV devant la librairie a vu se succéder toute la journée des intervenants issus des médias évoquer le traumatisme de ce funeste 7 janvier 2015 mais aussi parler de leur place dans la société. La presse, comme l’art ou l’éducation est un bien précieux. Artistes, écrivains, penseurs ou journalistes ; ils sont les premières victimes des dictatures depuis des siècles. Une des raisons de la mobilisation aixoise aux côtés des organisations mondiales que l’UNESCO réunit chaque année depuis1993. Le combat pour une presse libre continue.
A Aix Fréquence Mistral a participé à cet élan généreux et rassembleur. Aux côtés de nos confrères de La Provence, La Marseillaise, France 3 et d’autres, nous avons dit notre singularité de média associatif et professionnel, militant de l’éducation populaire et de l’économie sociale et solidaire en même temps que petit soldat de l’information de proximité notamment en zone rurale. Pas de course à l’audience ou au spectaculaire chez nous mais une info honnête, en phase avec ses territoires et qui laisse la parole aux institutions aussi bien qu’aux citoyens sans arrières pensées malsaines ni intérêts marchands. Sophie Racle, Camille Garcia et moi-même avons pu développer nos choix éditoriaux et nos actions passées, présentes et à venir.
La journée aixoise a été constructive et elle nous a aussi renforcés dans nos convictions : pas de liberté sans presse libre !
Je vous propose d’écouter les deux principaux responsables de la manifestation aixoise Stéphane Salord et Bernard Beka puis Sébastien Madau, rédacteur en chef du quotidien « La Marseillaise » qui vit des heures difficiles. Mais d’abord un premier bilan à chaud.
Un plateau TV devant la librairie a vu se succéder toute la journée des intervenants issus des médias évoquer le traumatisme de ce funeste 7 janvier 2015 mais aussi parler de leur place dans la société. La presse, comme l’art ou l’éducation est un bien précieux. Artistes, écrivains, penseurs ou journalistes ; ils sont les premières victimes des dictatures depuis des siècles. Une des raisons de la mobilisation aixoise aux côtés des organisations mondiales que l’UNESCO réunit chaque année depuis1993. Le combat pour une presse libre continue.
A Aix Fréquence Mistral a participé à cet élan généreux et rassembleur. Aux côtés de nos confrères de La Provence, La Marseillaise, France 3 et d’autres, nous avons dit notre singularité de média associatif et professionnel, militant de l’éducation populaire et de l’économie sociale et solidaire en même temps que petit soldat de l’information de proximité notamment en zone rurale. Pas de course à l’audience ou au spectaculaire chez nous mais une info honnête, en phase avec ses territoires et qui laisse la parole aux institutions aussi bien qu’aux citoyens sans arrières pensées malsaines ni intérêts marchands. Sophie Racle, Camille Garcia et moi-même avons pu développer nos choix éditoriaux et nos actions passées, présentes et à venir.
La journée aixoise a été constructive et elle nous a aussi renforcés dans nos convictions : pas de liberté sans presse libre !
Je vous propose d’écouter les deux principaux responsables de la manifestation aixoise Stéphane Salord et Bernard Beka puis Sébastien Madau, rédacteur en chef du quotidien « La Marseillaise » qui vit des heures difficiles. Mais d’abord un premier bilan à chaud.
ECOUTER OU TELECHARGER
Durée : 14'14"