Un film japonais ouvre les Rencontres Cinéma ce soir.


Mardi 3 Février 2015


Le festival tant attendu des cinéphiles et autres curieux ouvre sa 28° édition ce soir. Avec un film de Kôji Fukada, adapté d’une nouvelle de Balzac.
Ce festival nous fait voyager sur notre planète mais aussi explore l’âme humaine. Australie, Iran, Chine, Algérie, les quartiers nord de Marseille ou Paris dans les années 60, les Rencontres vont nous promener agréablement dans des univers différents. Mais l’aspect essentiel des Rencontres reste la possibilité de croiser les réalisateurs au détour de leurs projections à Jean le Bleu, au Lido ou à Sainte-Tulle. Sans oublier que c’est sur grand écran que se déroulent l’histoire et les histoires. Rien à voir avec un home cinéma pantoufles aux pieds et télécommande à la main. Ici, on doit aller vers l’œuvre cinématographique tant physiquement que moralement, ce qui rajoute au plaisir. Car voir « Peau d’âne » de Jacques Demy sur un écran de plusieurs mètres avec Catherine Deneuve au faîte de sa beauté est tout simplement indicible, indescriptible. Voilà le genre de cadeaux que font les Rencontres. Pendant une semaine, les spectateurs sont conviés à la fête. Je vous propose d’écouter Pascal Privet, cheville ouvrière de ce festival où les cinéastes ne gagnent aucun prix mais dont on ressort plus fort et plein d’une richesse incomparable. Il répond aux questions de François Malabave.




Fréquence Mistral Manosque