2021.06.25 - Centre aqualudique - J-C Pétrigny.mp3 (4.68 Mo)
Les élus de Durance-Luberon-Verdon Agglomération avaient un choix important à faire lors du dernier conseil communautaire : adopter un mode de gestion du futur centre aqualudique de Manosque. Et malgré 4 oppositions et 2 abstentions, c’est un contrat de délégation de service public qui a été décidé, après avis final favorable en janvier dernier du comité de direction idoine. Nous entendrons le président Pétrigny dans un instant.
Un rappel : l’ouvrage comportera 4 bassins différents (sportif, loisirs et petite enfance), des jeux aquatiques pour enfants et un espace détente sur près de 5 000 m2 en tout plus des abords aménagés d’une superficie de 10 000 m2.
C’est un chantier imposant pour un projet de territoire conséquent.
Remplaçant sur Manosque la piscine de la Rochette devenue obsolète, le transfert éventuel des charges de fonctionnement et du personnel manosquin a été évoqué. De même que l’utilisation à l’année des scolaires et habitants des communes comme Oraison ou Sainte-Tulle par exemple qui possèdent leur propre piscine.
Le choix d’un délégataire est judicieux selon les élus car gérer un tel équipement demande des savoir-faire et ressources notamment humaines que l’agglomération n’a pas. L’établissement d’un cahier des charges est lancé et la DLVA entend aussi contrôler régulièrement le futur délégataire.
La question essentielle : un service au public par un acteur privé. L’équilibre est délicat. Ecoutons le président Pétrigny justifier ce choix et évoquer aussi la toiture de la salle de l’Eden à Oraison, actuellement en travaux.
Un rappel : l’ouvrage comportera 4 bassins différents (sportif, loisirs et petite enfance), des jeux aquatiques pour enfants et un espace détente sur près de 5 000 m2 en tout plus des abords aménagés d’une superficie de 10 000 m2.
C’est un chantier imposant pour un projet de territoire conséquent.
Remplaçant sur Manosque la piscine de la Rochette devenue obsolète, le transfert éventuel des charges de fonctionnement et du personnel manosquin a été évoqué. De même que l’utilisation à l’année des scolaires et habitants des communes comme Oraison ou Sainte-Tulle par exemple qui possèdent leur propre piscine.
Le choix d’un délégataire est judicieux selon les élus car gérer un tel équipement demande des savoir-faire et ressources notamment humaines que l’agglomération n’a pas. L’établissement d’un cahier des charges est lancé et la DLVA entend aussi contrôler régulièrement le futur délégataire.
La question essentielle : un service au public par un acteur privé. L’équilibre est délicat. Ecoutons le président Pétrigny justifier ce choix et évoquer aussi la toiture de la salle de l’Eden à Oraison, actuellement en travaux.
