Samedi 27 juillet, cinéma en plein air à Manosque… (25.59 Mo)
L’idée de l’association des commerçants manosquins est excellente. D’abord pour animer le centre ancien puis pour rendre hommage à un Manosquin étonnant.
En proposant la projection à la fraîche du film de Jean-Pierre Mocky « Un drôle de paroissien » avec un extraordinaire et inoubliable Bourvil, l’ACAM donne vie de belle manière à une place des Observantins qui se prête bien à ce type de soirée.
Mais de plus, certains le savent, d’autres l’ignorent, ce film étonnant de 1963 est tiré de « Deo Gratias » le premier roman d’un jeune… Manosquin dont le nom de plume est Michel Servin.
D’autres œuvres suivront « Les Tantes », « Les réguliers » ou encore « L’entretien froid » paru en 2015 et qui nous a permis il y a quatre ans, de faire une belle interview de l’auteur. Et Michel Servin est toujours des nôtres. Mieux, il sera présent à la projection du film qui a contribué à sa notoriété et… encore mieux, il s’apprête à publier « Le voyage » un roman où un Manosque révolu et ses habitants disparus tiennent la vedette d’une expédition jusqu’à Apt qui recèle des trésors d’écriture poétique.
Reçu récemment en mairie avec quelques membres de sa famille, l’écrivain qui est aussi co-fondateur de l’association des Amis de Jean Giono a répondu avec malice aux questions des élus présents et parlé des vieilles rues de Manosque qu’il a plaisir à retrouver chaque année.
En vous rappelant la projection du film de Mocky samedi vers 21h place des Observantins, je vous propose d’écouter Michel Servin évoquer « Un drôle de paroissien » mais aussi Giono ou le peintre Louis Denis-Valvérane dont de nombreux tableaux ornent les murs de l’hôtel de ville de Manosque.
En proposant la projection à la fraîche du film de Jean-Pierre Mocky « Un drôle de paroissien » avec un extraordinaire et inoubliable Bourvil, l’ACAM donne vie de belle manière à une place des Observantins qui se prête bien à ce type de soirée.
Mais de plus, certains le savent, d’autres l’ignorent, ce film étonnant de 1963 est tiré de « Deo Gratias » le premier roman d’un jeune… Manosquin dont le nom de plume est Michel Servin.
D’autres œuvres suivront « Les Tantes », « Les réguliers » ou encore « L’entretien froid » paru en 2015 et qui nous a permis il y a quatre ans, de faire une belle interview de l’auteur. Et Michel Servin est toujours des nôtres. Mieux, il sera présent à la projection du film qui a contribué à sa notoriété et… encore mieux, il s’apprête à publier « Le voyage » un roman où un Manosque révolu et ses habitants disparus tiennent la vedette d’une expédition jusqu’à Apt qui recèle des trésors d’écriture poétique.
Reçu récemment en mairie avec quelques membres de sa famille, l’écrivain qui est aussi co-fondateur de l’association des Amis de Jean Giono a répondu avec malice aux questions des élus présents et parlé des vieilles rues de Manosque qu’il a plaisir à retrouver chaque année.
En vous rappelant la projection du film de Mocky samedi vers 21h place des Observantins, je vous propose d’écouter Michel Servin évoquer « Un drôle de paroissien » mais aussi Giono ou le peintre Louis Denis-Valvérane dont de nombreux tableaux ornent les murs de l’hôtel de ville de Manosque.
