Une belle fresque murale et… au milieu passent les voitures ! (5.93 Mo)
Trois jeunes Manosquins de 18 et 19 ans, Soukaïna, Mousshine et Eloïm ont réalisé une bien jolie fresque à Saint-Lazare. Sous la houlette de l’ADSEA 04 et encadré par le graffeur Julien Marin, ils ont embelli les deux côtés du pont de la Rue d’En-Dessous avec une allégorie abstraite remarquable. Un chantier de plus à l’actif des partenaires à qui l’on doit déjà les maquillages de plusieurs transformateurs électriques de la cité de Giono.
Là, c’est un lieu de passage fréquenté par les voitures et bus comme par les piétons et déjà la fresque fait son effet.
De couleurs vives sous le pont, la peinture passe au gris en sortant de celui-ci pour respecter les directives de l’architecte des Bâtiments de France.
Il a fallu aussi respecter les consignes de sécurité du chantier. Equipement de protection d’abord car les quelque 400 bombes de peinture utilisées ne sont pas sans danger, la signalétique ensuite car le trafic des automobiles a été maintenu puis aussi sécurité sur les échafaudages. Un apprentissage pratique qui complète celui plus administratif du projet car les jeunes ont été contractualisés et rémunérés grâce notamment au contrat de ville. A noter aussi que le photographe Jean-Pierre Supplisson suit les chantiers de l’ADSEA pour garder des images de ces aménagements.
Je vous propose d’écouter Louis Boulabas du service de prévention spécialisé de l’ADSEA puis le graffeur Julien Marin de Colorskin Design.
Là, c’est un lieu de passage fréquenté par les voitures et bus comme par les piétons et déjà la fresque fait son effet.
De couleurs vives sous le pont, la peinture passe au gris en sortant de celui-ci pour respecter les directives de l’architecte des Bâtiments de France.
Il a fallu aussi respecter les consignes de sécurité du chantier. Equipement de protection d’abord car les quelque 400 bombes de peinture utilisées ne sont pas sans danger, la signalétique ensuite car le trafic des automobiles a été maintenu puis aussi sécurité sur les échafaudages. Un apprentissage pratique qui complète celui plus administratif du projet car les jeunes ont été contractualisés et rémunérés grâce notamment au contrat de ville. A noter aussi que le photographe Jean-Pierre Supplisson suit les chantiers de l’ADSEA pour garder des images de ces aménagements.
Je vous propose d’écouter Louis Boulabas du service de prévention spécialisé de l’ADSEA puis le graffeur Julien Marin de Colorskin Design.
