Briançon n'a pas oublié le Tibet ! De nombreuses manifestions se déroulent dans la plus haute ville d'Europe. Une campagne de parrainage avec des villes au Tibet a été lancée et depuis quinze ans maintenant l'association Briancon05 Urgence Tibet continue la lutte contre l'invasion chinoise.
Un peu d'histoire...
Tout commence en 1950 lorsque la Chine envahit le Tibet. L'occupation entraîne la mort de plus d'un million de Tibétains, et l'emprisonnement et la torture de milliers d'autres. Après l'échec d'une révolte contre la domination chinoise en 1959, le chef politique et spirituel du Tibet, le Dalaï-lama part en exil en Inde, suivi par des dizaines de milliers de Tibétains. Sans jamais cesser de croire que le Tibet est leur nation. Depuis 1959, la résistance continue mais la Chine répond avec une forte répression.
Des tibétains oppressés
On compte maintenant 300 000 troupes chinoises au Tibet, et les chinois sont encouragés à migrer au Tibet par leur gouvernement. Résultat, les Tibétains sont en minorité dans leur propre pays. Plus de 6 000 monastères bouddhistes tibétains et des sanctuaires ont été détruits et des militaires ont été placés par l'état chinois devant chaque monastère pour surveiller et contrôler l'activité religieuse. Toute référence ou images du Dalaï-lama sont interdits. Les Tibétains sont soumis à d'intenses surveillances de leurs activités quotidiennes et leurs communications. Le drapeau du Tibet et l’hymne national sont interdits.
La Chine a violé à plusieurs reprises des conventions de l'ONU en pratiquant la torture de façon intensive contre les prisonniers politiques tibétains - souvent des moines et religieuses. Benoît Camard, porte-parole de l’association Briancon05 Urgence Tibet répond aux questions de Susannah Wright et pointe du doigt l'objectif à long terme du leadership Chinois : éliminer progressivement toute la culture Tibétaine.
Un peu d'histoire...
Tout commence en 1950 lorsque la Chine envahit le Tibet. L'occupation entraîne la mort de plus d'un million de Tibétains, et l'emprisonnement et la torture de milliers d'autres. Après l'échec d'une révolte contre la domination chinoise en 1959, le chef politique et spirituel du Tibet, le Dalaï-lama part en exil en Inde, suivi par des dizaines de milliers de Tibétains. Sans jamais cesser de croire que le Tibet est leur nation. Depuis 1959, la résistance continue mais la Chine répond avec une forte répression.
Des tibétains oppressés
On compte maintenant 300 000 troupes chinoises au Tibet, et les chinois sont encouragés à migrer au Tibet par leur gouvernement. Résultat, les Tibétains sont en minorité dans leur propre pays. Plus de 6 000 monastères bouddhistes tibétains et des sanctuaires ont été détruits et des militaires ont été placés par l'état chinois devant chaque monastère pour surveiller et contrôler l'activité religieuse. Toute référence ou images du Dalaï-lama sont interdits. Les Tibétains sont soumis à d'intenses surveillances de leurs activités quotidiennes et leurs communications. Le drapeau du Tibet et l’hymne national sont interdits.
La Chine a violé à plusieurs reprises des conventions de l'ONU en pratiquant la torture de façon intensive contre les prisonniers politiques tibétains - souvent des moines et religieuses. Benoît Camard, porte-parole de l’association Briancon05 Urgence Tibet répond aux questions de Susannah Wright et pointe du doigt l'objectif à long terme du leadership Chinois : éliminer progressivement toute la culture Tibétaine.
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Durée : 13'43"
Association Briançon05 Urgence Tibet.mp3 (18.84 Mo)